OpusDei

Le monde est fou! Au moins tout autant fou que moi, que vous.

Mercredi 4 janvier 2012 à 19:44

     Les nuits Parisiennes, longues envies de peines.
     Force finale, les nuits Parisiennes.

Silence obscure, les pas jugent ton âme solitaire, en core pure.
Silence obscure.

     Folles nuits Parisiennes, gentil épsrit criminel.
     Elle te voit, elle est tienne.
     Non, non mon ami, nous voyons toutes peines.
     Emmene moi dans tes nuits folles.

Sombréro des routes, sombre héros de nous.
Fière allure sous la ronde jupe, elles le sont toutes.
Cours à ta perte.
  
     Tombe du ciel, le signe d'une nuit Parisienne.
     Elle est desormais mienne, ma Parisienne.

Mercredi 4 janvier 2012 à 15:17

Entrouve mon torse et déchire mon âme,
Et fais de moi l'homme à qui on en veut,
Au vent fais de moi ce que tu veux.

Mais chaque soir ou tu dors,
Ou chaque rêve te rend plus belle encore,
Le monstre de mon amour t'appel plus fort.

Ton regard de soleil noir,
Se pose pour me faire boire,
Ton eau de mort.

Que cherches tu ma veuve noire?
Me voir moi à tes pieds chaque soir,
Comme un chien à carèsses.

Dis que je suis tiens,
Que tu aimes mon corps entre tes reins,
Mes vas et viens.

C'est un hommage à cet amour,
A ce rythme qui nous entoure,
C'est dommage pour nous,

On a pas su se taire ni faire,
De nous un amour à demi mot.

Ca sonne pour moi,
Le moment de quitter l'eau de tes yeux.

Ca y est mon âme me quitte,
Torse dechiré,
Je n'ai plus qu'à sourire.

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